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Articles récents

Le passage d’eau de Villequier

27 Mai 2020 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #Tancarville

Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier

Le passage d'eau entre Villequier et Vatteville-la-Rue a été en service de 1841 à 1972. La largeur de la Seine est en 1861 de 300 mètres. C’est un bac pour piéton.

Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier

Sur la rive droite, à Villequier, il n'y a pas de cale mais un embarcadère. Elle existe toujours et en face la cale de la rive gauche est devenue un but de promenade pour apprécier le panorama sur Villequier

Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier
Le passage d’eau de Villequier

A Vatteville La Rue en prenant le chemin de Villequier on arrive à une première cale. Une seconde cale se trouve plus en amont, elle a servi au passage piéton jusqu'en 1972. On y voit encore une structure en bois pour l'accostage lors des marées basse. 

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En attendant le bac à Quillebeuf

15 Février 2020 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #Tancarville

En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf

Les horaires du Bac à Quillebeuf

LES EMBARCATIONS SUCCESSIVES

En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf

Le bac à vapeur en service de 1873 à 1908

En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf

L’Ampère en service de 1908 à 1930

Construit par Dion, il fonctionne à l'électricité et n’a pas de cheminée. Un moteur à essence sert d'appoint à sa propulsion. Sa longueur est de 24 mètres.

En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf

Le bac de Quillebeuf avant-guerre en service depuis 1930

De 1930 à 1970 c'est un bac à vapeur et à hélices qui a assuré la traversée entre Quillebeuf et Port-Jérôme. Le bac a été fabriqué aux chantiers de Laroche Maurice à Nantes. Il avait une capacité d'embarquement de 14 voitures.

En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf

Dessins d’Yvonne Jean-Haffen, née à Paris le 27/10/1895 et morte à Dinan le 24/11/1993, c’est une artiste peintre, dessinatrice, graveuse et céramiste française.

En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf

Le bac de Quillebeuf après-guerre en service jusqu’en 1970

En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf

Le bac n°13 en service de 1970 à 2011

En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf

En attendant à bord du bac 23

En attendant le bac à Quillebeuf

Le bac 23 est construit en 2010 par la SOCARENAM de Boulogne sur Mer. Sa longueur est de 60,7m et sa largeur de 18,5m. Il est équipé de quatre moteurs diesel Caterpillar de 450Cv entrainant chacun un propulseur Voith-Schneider. Il peut contenir 200 Passagers et 28 Voitures.

En 2017, le bac 23 est transféré de Quillebeuf à Duclair, à la suite du désarmement du bac 21 de Duclair. Les bacs 13 et 14 assurent le service à Quillebeuf jusqu’à l’arrivée du Bac 24 en 2021.

LE COMITE DE DEFENSE DU BAC DE QUILLEBEUF

Avec l'ouverture du Pont de Tancarville le bac interdépartemental a failli disparaître. Cette menace constante depuis 1959 a suscité la création d'une association spécifique de défense toujours existante.

En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf
En attendant le bac à Quillebeuf

Compte rendu de l'AG du Comité de Défense du bac de Quillebeuf du 26 09 2008

L’assemblée générale du Comité de Défense du Bac de Quillebeuf s’est tenue le 26 septembre 2008 à Quillebeuf en présence d’élus locaux et de représentants des services département de l’Eure et la Seine Maritime et de Jean-Bernard SEILLE secrétaire de l’association des usagers des bacs de Seine.

LA FERMETURE DU PASSAGE D’EAU DE JUILLET 2008 : Jusqu’au 23 juin le département de Seine Maritime a négocié avec EXXON pour éviter une fermeture prolongée du passage. Il y a donc eu une décision tardive et une information tardive de la fermeture du passage d’eau que ce soit vis-à-vis des élus locaux et vis-à-vis des usagers. Pendant les travaux il n’y a eu qu’un débarquement chez Exxon …

LES PANNEAUX LUMINEUX : Le marché des panneaux à message variable a été passé pour l’ensemble des huit passages d’eau. Des travaux de génie civil sont en cours sur plusieurs cales. Les positionnements en amont des cales sont à l’étude.

REMPLACEMENT DU BAC DE QUILLEBEUF : Le marché a été notifié en juillet 2008. La commande porte sur un bac de 28 voitures. Il fonctionnera en mono-énergie. Les marins de Quillebeuf seront associés à la surveillance du chantier pour éviter les erreurs de construction des deux précédents bacs. Le montant du marché est de 8,8 millions d’Euros. Cela donne une mise en service programmée en 2010. Le bac est à priori plutôt destiné au passage d’eau de Quillebeuf.

QUESTIONS DIVERSES : La modification du cycle de travail des marins imposé par les Affaires Maritimes entraîne une tension sociale. De difficiles négociations sont en cours. Le département travaille sur un projet concernant tous les transports régionaux au sujet de la diffusion des horaires de transport. Un autre projet porte sur l’envoi de SMS par abonnement pour porter à la connaissance des usagers des incidents.

RAPPEL : Il n’y a pas d’obligation de service public pour les passages d’eau. Il convient donc de rester vigilant pour le maintien des bacs.

Lors de son assemblée générale d'octobre 2011, le comité de défense du bac de Quillebeuf décide de  se mettre en sommeil suite à la mise en place du bac n°23.

Extrait du Paris Normandie du 25/01/2016 : Lors de l’assemblée générale du comité de défense du bac de Quillebeuf du 22 janvier 2016, plus de 130 personnes en attente de réponse, usagers ou non, étaient présentes. Jean-Pierre Lucas, directeur général adjoint du Pôle aménagement et mobilités au conseil départemental de Seine-Maritime, a estimé qu’il était important de maintenir ce comité : « C’est essentiel pour nous de pouvoir continuer à dialoguer et à échanger avec l’association. On apprécie, en tant qu’exploitant de la voie d’eau, l’importance de ce comité. »

ACTU76 (L’Eveil de Pont-Audemer 15 octobre 2021) : Interview de Thomas Cribelier nouveau président du comité de défense du bac de Quillebeuf par Benoit Galley

Thomas Cribelier, 28 ans, est le nouveau président du comité de défense du bac de Quillebeuf-sur-Seine. Il a succédé à Christian Levesque, qui était en place depuis 2003.

Actu : Vous venez d’être élu président du comité de défense du bac de Quillebeuf. Étiez-vous déjà membre de l’association ?

Thomas Cribelier : « Oui je suis membre depuis 2017. Étant natif de Quillebeuf et marin de profession, je me suis intéressé au fonctionnement du bac. Le bac, c’est la vie du village. Dès qu’il est arrêté, les commerçants le ressentent. C’est un service très utile pour les usagers. J’ai passé un an dessus, en 2013-2014, en tant que matelot. Aujourd’hui, je travaille au Grand port maritime de Rouen.

Pourquoi avez-vous accepté de devenir président du comité ?

TC : Depuis quelques années déjà, le président [Christian Levesque] voulait passer la main. Lors de la dernière assemblée générale, avec Louis Faure (fondateur du comité avec Christian Levesque), ils ont annoncé qu’ils souhaitaient se mettre en retrait. Le comité risquait d’être dissous. On m’a poussé à me présenter, ce que j’ai accepté. Je suis entouré de Sandrine Beuzit (secrétaire) et Touria Sole (trésorière). Nous sommes quinze au total et les fondateurs m’accompagnent pour faire la transition.

Quelles sont vos inquiétudes au sujet du bac ?

TC : Plusieurs questions ont été posées aux représentants des services du bac, qui étaient présents lors de la réunion du comité. Actuellement, les zones d’attente posent un peu problème. Les deux files ont été réaménagées suite à la mise en place du système de comptage. Il n’y a plus qu’une seule voie avant l’embarquement. Le souci est que les usagers n’utilisent qu’une seule voie pour éviter d’être bloqués. Cela allonge les files. Du côté de Port-Jérôme, la file atteint le rond-point. On en appelle donc au bon sens des automobilistes.

Avez-vous d’autres préoccupations ?

TC : Nous avons interrogé les responsables du Département de Seine-Maritime (gestionnaire du service des bacs) au sujet du remplacement du bac. Ils nous ont assuré que le bac 24 ne serait pas déplacé à Duclair en cas d’arrêt. Le bac 13 (actuellement en fonction à Quillebeuf) fera la jonction entre les deux. En ce moment, le bac 24 est en visite de garantie après un an de service. Enfin, il a été question de l’installation d’un panneau d’information sur l’A131 mais cela dépend de la Sapn (Société des autoroutes Paris-Normandie). Certains voudraient plus de panneaux. Des usagers estiment que les horaires de passage ne sont pas respectés mais le trafic maritime peut en être la cause. Quant aux barrières qui ne fonctionnent pas sur le bac, il s’agit d’un problème de capteurs. Le problème sera bientôt réglé. »

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L'inauguration du pont de Tancarville

10 Octobre 2019 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #Tancarville

Le pont de Tancarville a été inauguré en août 1959. Sa mise en service a entraîné la fermeture du passage d'eau du Hode entre Berville-sur-Mer et Saint-Vigor d'Ymonville.

L'inauguration du pont de Tancarville
L'inauguration du pont de Tancarville
L'inauguration du pont de Tancarville
L'inauguration du pont de Tancarville
L'inauguration du pont de Tancarville
L'inauguration du pont de Tancarville
L'inauguration du pont de Tancarville
L'inauguration du pont de Tancarville
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Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et Saint-Vigor-d'Ymonville

15 Août 2019 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #Tancarville

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

A la fin des années 20, un front unique s’organise autour de l’association des Bacs de la Basse-Seine pour la mise en place d’un bac à Berville-sur-Mer. Le Journal « l’Écho du Bac de Berville » fondé en 1910 par l’Association des Bacs de Basse-Seine dont la rédaction était au Havre 22, rue de Fécamp a, très régulièrement et durant de nombreuses années, informé les habitants de l’estuaire de l’état d’avancement des travaux et des nombreuses difficultés rencontrées pour la construction du Bac du Hode. Cette mobilisation aboutit à la mise en service du bac du Hode le 20 juillet 1932.

Journal de Rouen du 7 octobre 1931 : Le Bac de Berville est arrivé lundi soir à Rouen

Le bac du Hode qui doit effectuer le transport des passagers et des véhicules entre le cap Hode et Berville est arrivé hier, vers 14 heures, à l’appontement des Anglais, après une traversée de moins de 48 heures entre Saint-Nazaire et le Havre. Ce navire a été construit par les chantiers Roche-Maurice, de Nantes : ses chaudières proviennent de chez Gaillard, du Havre ; les machines et les auxiliaires sont de chez Mancourt, de Nantes. Il jauge brute 750 t., sa longueur est de 45 mètres sur 14 mètres de largeur, son tirant d’eau en charge de 2 mètres ; il est muni de deux machines à triple expansion de 350 ch. Vapeur tournant à 180 tours et actionnant chacune une hélice assurant une marche de 9 nœuds. C’est un solide bateau bien défendu de l’avant. Sa grosse ceinture de 0 m. 60 faite pour les accostages le long des bacs flottants, brise les lames et assure le pont contre les embruns. Les aménagements comportent, en partant de l’avant, un poste pour 10 hommes, matelots de pont et chauffeurs, ensuite une descente à bâbord donne sur le carré des officiers, où se trouve une table pour 8 couverts, grande glace, desserte, etc., 4 portes donnent sur les chambres des officiers, chaque cabine a son lit, en dessous tiroirs pour le linge personnel, 1 table fixe, 1 lavabo avec eau courante, un petit canapé et une grande penderie, glace, radiateur, 3 lampes dont deux fixes et une de chevet. Deux portes du pont donnent sur une grande salle pour les passagers, un escalier au milieu de cette dernière donne sur une deuxième salle dans le faux pont, et qui peuvent contenir 250 personnes. Le pont promenade a une longueur de mètres sur 3 m.50 ; plusieurs portes donnent sur le w.-c. des passagers et de l’équipage, et bains-douches de l’équipage ; vient ensuite la salle des machines. L’aération est assurée par des ventilateurs mus électriquement, aspirant l’air frais et le refoulant vers les fonds. 2 pompes ainsi que 2 turbines assurent l’épuisement en cas de voie d’eau à raison de 100 t. à l’heure. L’éclairage des 200 lampes et projecteurs du bord est assuré par une dynamo de 110 volts, 75 ampères, branchée sur une machine. En cas d’incendie, 4 conduites de 50 mm donnent sur le pont ; en plus 12 gros extincteurs sont fixés à différents endroits à portée de main. Le service de secours est assuré par 5 baleinières, 300 gilets de sauvetage et 25 bouées avec lignes. A l’avant, un guindeau de 5 t. pour les ancres ; à l’arrière, 1 treuil de même puissance. 4 amortisseurs de choc à l’avant et à l’arrière assurent contre le bris des amarres lors des accostages et contre la houle par mauvais temps. Un escalier de chaque côté du pont arrière donne accès sur le pont supérieur destiné à recevoir 20 véhicules ; ce pont a une longueur de 20 m. sur 14 ; des anneaux fixés au parquet assurent aux véhicules un parfait amarrage. 8 projecteurs en assurent l’éclairage dès la tombée du jour. La passerelle de commandement, très surélevée, permet au capitaine de voir toutes ses manœuvres sans quitter son poste ; 3 télégraphes, dont 2 à bâbord et 1 à tribord lui permettent d’éviter toute perte de temps lors des accostages. La traversée entre Berville et Cap Hode se fera à raison de 2 voyages par heure comprenant 20 minutes d’attente pour l’embarquement, 8 à 10 minutes de traversée et 20 minutes pour le débarquement et réembarquement. Le deuxième ponton fixe, actuellement en fin de construction à Nantes, arrivera à Rouen vers le début de novembre.

Voir également le Journal de Rouen du 13 mars 1932 consacré à la visite du bac du Hode.

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

De 1932 à 1944 et de 1949 à 1959 il y a un bac en aval de Tancarville. Ce bac relie Berville-sur-Mer (Eure) à la Hode (lieudit de la rive droite de la commune de Saint-Vigor-d'Ymonville). Ce bac est supprimé lors de l'ouverture du Pont de Tancarville.

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

Le bac du Hode avant-guerre

Photographie d'août 1934

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

Les installations avant-guerre

Paris Normandie du 3 février 1947 : le bac du Hode sera bientôt réparé

Mais quand ses estacades d’accès seront-elles en état ?

Deux fois, durant la guerre, le bac avait été coulé … Le bac du Hode, que les usagers nommaient le plus souvent le bac de Berville, est actuellement l’objet d’une remise en état importante. Le voici à Petit-Couronne amarré le long d’un dock flottant. Là-bas, à Petit-Couronne, à une dizaine de kilomètres en aval de Rouen, dans la darse des Docks, un petit navire sur lequel, ici et là, une tôle neuve, une rangée de rivets récemment posés, une lisse éclatée, une passerelle inachevée indiquent qu’il a, comme tant d’autres, subi les rigueurs de la guerre, et qu’on est en train de la réparer. C’est un bâtiment de formes assez inusitées, très large par rapport à sa longueur. Il mesure 14 m. 80 au maitre-bau pour 45 m. de l’étrave au couronnement. Entre le banc de quart, situé à l’arrière, et le mât placé à l’avant, s’étend une sorte de pont supérieur, très dégagé. Sur ce plancher, aux beaux jours d’avant-guerre s’entassaient autos, camions et cars. Aux jours tragiques de l’exode s’entassèrent les Havrais fuyant leur ville. Car il s’agit du bac du Hode, le dernier bac sur la Seine avant l’estuaire…

Pendant la Guerre. En juin 1940, les Ponts et Chaussées avaient ordre d’évacuer tout leur matériel flottant sur Cherbourg. On ne pensait pas encore à ce moment à le diriger sur l’Angleterre. Le bac du Hode devait suivre la règle commune. Il appareillait donc à la traine d’un remorqueur, car il n’était pas question de lui faire effectuer de traversée maritime par ses propres moyens, lorsqu’une batterie allemande installée à Sainte-Adresse le prit sous son feu. Un hasard extraordinaire fit qu’un obus coupa la remorque, et que le bac partit à la dérive. Il vint s’échouer sur la digue sud du fleuve, en amont de Honfleur, et comme il avait reçu un projectile dans la coque, coula. Renfloué sous l’occupation, il reprit son service après un temps assez long nécessité par les travaux de remise en état. En 1944, le bac du Hode allait de nouveau servir d’objectif. Il était en effet un des points de passage utilisé par l’ennemi, et il devenait utile de le supprimer, en particulier en détruisant les installations des rives. Le 10 mai, le bac étant accosté rive gauche, une douzaine de bombardiers attaquent à la mitrailleuse et au canon. Il y a des blessés : deux matelots à leurs postes de manœuvre, un passager, et le capitaine du remorqueur 1 des Ponts et Chaussées, qui se trouvait à proximité. Mais les dégâts au bac et aux pontons d’accostage se bornent à peu de chose. Le 17, le bac reprend son service. On a installé une protection sur sa passerelle, et on a construit des abris sur les pontons. Le 8 juin, vers 20 h., attaque à la bombe. Dégâts insignifiants encore. Le 9, vers midi, le bas étant amarré rive gauche, une bombe tombe dans le poste d’équipage, tuant le matelot Moy, une autre dans la cale arrière, faisant des blessés. Le bac est alors pris en remorque et échoué à l’entrée de la Risle. Le 12 juin, vers 9 h., l’épave est attaquée à la bombe et atteinte plusieurs fois. Mais les Allemands interdisent de s’en approcher et on ne peut sur le moment apprécier les dommages. Pendant cette même attaque, le ponton d’accostage de la rive nord est touché et coule. Le rôle du bas est désormais terminé. Mais les destructions, elles, ne le sont point. Les Allemands, avant leur départ font sauter, le 14 août, le ponton sud et son guide ; ils créent dans l’estacade en béton armé de la rive nord trois brèches de 10, 30 et 70 mètres et ils détériorent la passerelle métallique de 60 mètres permettant l’accès au ponton. Et c’est cela qui est le plus important et le plus grave.

Car aujourd’hui … Le renflouement du bac a été effectué. Il a été conduit aux Chantiers de Normandie, à Grand-Quevilly, où on le remet en état. Il est passé sur le dock flottant où l’on a remplacé ses fonds plissés par l’échouage et redressé la coque affaissée en fausse-tonture et ne tenant plus que par la voie charretière supérieure. Et il ne faudrait à présent que relativement peu de temps pour l’achever. Seulement … Seulement il y a le renflouement des pontons d’accostage, la reconstruction de l’estacade, la réparation des guides… C’est un travail considérable qui est en cours et qui peut réserver bien des surprises. Aussi est-il encore à l’heure actuelle impossible de prévoir une date… Et ce n’est certes pas demain que les automobilistes havrais s’en iront « de l’autre côté de l’eau », sur le marge petit vapeur à la cheminée blanche et noire. Emile BIETTE

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

En 1947 l'ancien bac du Hode est renfloué pour être réparé et transformé aux Chantiers de Normandie à Grand Quevilly. En juillet 1949 il reprend son service pour 10 ans jusqu'à l'ouverture du Pont de Tancarville le 25 juillet 1959.

Tableau de Robert Lavoine : le bac du Hode

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

Tableaux de Fernand Herbo de 1952

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

Vues aériennes des installations

De 1932 à 1959 à Berville sur Mer le bac du Hode bénéficie d'impressionnantes installations. La particularité de ces installations vient de la marée qui rend nécessaire un ponton spécial pour l'embarquement.

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

Le bac du Hode après-guerre

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

En attendant le bac du Hode

Roman policier d'Alexandra Pecker paru en 1957

Souvenir de vacances de Josette Legat : J’ai oublié de parler d’une anecdote qui a son importance ; à propos du bac du hode ; Il y avait des horaires bien précis à respecter et le soir plus d’une fois nous sommes arrivés alors que le dernier passage du bac était fini. Alors seule ressource ; faire le détour par Rouen mais cela représentait un parcours assez long, alors nous passions la nuit dans la voiture, c’était une horreur, tout le monde rouspétait et était de mauvaise humeur et nous attendions impatiemment le départ tôt le matin du 1er bac afin de rentrer chez nous ! ! !

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

Le café-restaurant du bac à Berville-sur-Mer - Photographie de Jean-Pierre Derouard (2008)

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

Le restaurant du Hode à Saint-Vigor-d'Ymonville

Panneau indicateur situé à Honfleur

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

La photographie couleur de Fernande OBSELIN a été prise de son lieu de travail.

L'inauguration du Pont de Tancarville en 1959 entraîne la fermeture du passage d'eau reliant Berville sur Mer à Saint-Vigor-d'Ymonville. Le bac du Hode est récupéré par le Rouen Yacht Club. Il est installé à Rouen au pied du pont Boieldieu sur le quai de la rive gauche. Il sert d'atelier pour les bateaux des membres du Rouen Yacht Club ponton pendant plus de dix ans.

Le Bac du Hode au Havre en 1975

L'ancien bac du Hode aurait été transformé en restaurant flottant en région parisienne.

Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville
Le bac du Hode entre Berville-sur-Mer et  Saint-Vigor-d'Ymonville

A Saint-Vigor-d'Ymonville, il reste comme vestige la route et les abris piétons.

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Naissance aux forceps à Bourg-Achard le 22 juillet 1959

22 Juillet 2019 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #Heurteauville

DIRECTION LA MATERNITE DE BOURG-ACHARD

DIRECTION LA MATERNITE DE BOURG-ACHARD

Naissance de Jean-Bernard SEILLE à Bourg-Achard  le 22/07/1959 :

Le vingt deux juillet mil neuf cent cinquante neuf, une heure quinze minutes, est né Grande Rue, Jean-Bernard, Noël, Nicolas du sexe masculin, de Bernard Gaston André SEILLE né à Ambrumesnil (Seine-Maritime) le vingt trois novembre mil neuf cent trente trois, jardinier et de Elisabetta LENARDUZZI née à Berchem Sainte Agathie (Belgique) le trente août mil neuf cent trente sept, son épouse, femme de ménage, domiciliés à Heurteauville (Seine Maritime). Dressé le vingt quatre juillet mil neuf cent cinquante neuf, neuf heures, sur la déclaration du père qui lecture faite, et invité à prendre connaissance a signé avec nous, Bernard CLASTOT, adjoint au Maire de Bourg-Achard, Officier de l’Etat Civil en l’absence du Maire.

VUE SUR LA MATERNITE DE BOURG ACHARD

VUE SUR LA MATERNITE DE BOURG ACHARD

Le film de ma naissance aux forceps (il m'en reste un creux sur la crane) :

LA MAMAN ET SON PREMIER NE A HEURTEAUVILLE

LA MAMAN ET SON PREMIER NE A HEURTEAUVILLE

Naissance aux forceps à Bourg-Achard le 22 juillet 1959
Naissance aux forceps à Bourg-Achard le 22 juillet 1959
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En attendant le bac à Port Jérôme

10 Juin 2019 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #Tancarville

En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme

Le bac à vapeur en service de 1873 à 1908

En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme

L’Ampère en service de 1908 à 1930

Construit par Dion, il fonctionne à l'électricité et n’a pas de cheminée. Un moteur à essence sert d'appoint à sa propulsion. Sa longueur est de 24 mètres.

En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme

Le bac de Quillebeuf avant-guerre en service depuis 1930

De 1930 à 1970 c'est un bac à vapeur et à hélices qui a assuré la traversée entre Quillebeuf et Port-Jérôme. Le bac a été fabriqué aux chantiers de Laroche Maurice à Nantes. Il avait une capacité d'embarquement de 14 voitures.

En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme

Le bac de Quillebeuf après-guerre en service jusqu'en 1970

Le bac interdépartemental de Quillebeuf, célèbre pour son péage, en 1955 :

Le bac n°13 à Port Jérôme en service de 1970 à 2011

En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme

Le bac 23 est construit en 2010 par la SOCARENAM de Boulogne sur Mer. Sa longueur est de 60,7m et sa largeur de 18,5m. Il est équipé de quatre moteurs diesel Caterpillar de 450Cv entrainant chacun un propulseur Voith-Schneider. Il peut contenir 200 Passagers et 28 Voitures.

En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme
En attendant le bac à Port Jérôme

En attendant le bac 23 à Port Jérôme

Le panneau à message variable de Port Jérôme

En attendant le bac à Port Jérôme

Les horaires des bacs à Port Jérôme

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Mariage à Heurteauville le 6 septembre 1958

30 Mai 2019 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #Heurteauville

Le six septembre mil neuf cent cinquante huit dix heures, devant nous ont comparu publiquement en la maison commune Bernard Gaston André SEILLE, jardinier (*), né à Ambrumesnil (Seine-Maritime) le vingt trois novembre mil neuf cent trente trois, vingt quatre ans, domicilié à Heurteauville, fils de Emile Alfred SEILLE, décédé, et de Marie Madeleine LEFEBVRE sans profession, sa veuve, domiciliée à Heurteauville, d’une part, et Elisabetta LENARDUZZI employée de maison (**), née à Berchem Sainte Agathie (Belgique) le trente août mil neuf cent trente sept, vingt et un ans, domiciliée à Heurteauville, fille de Pietro LENARDUZZI manœuvre, et de Rosalia PASUTTI, sans profession, son épouse, domiciliés à Heurteauville d’autre part. Les futurs époux déclarent qu’il n’a pas été fait de contrat de mariage. Bernard Gaston André SEILLE et Elisabetta LENARDUZZI ont déclaré l’un après l’autre vouloir se prendre pour époux et Nous avons prononcé au nom de la loi qu’ils sont unis par le mariage. En présence de Claude SEILLE, ouvrier d’usine, domicilié à la Mailleraye sur Seine et de Pietro LENARDUZZI manœuvre domicilié à Heurteauville, témoins majeurs, qui, lecture faite ont signé avec les époux et nous Pierre LAMY, adjoint au Maire de Heurteauville.

Mariage à Heurteauville le 6 septembre 1958

(*) Bernard SEILLE travaille à la savonnerie de Yainville depuis 1956, où travaille également son frère Emile SEILLE et son beau-frère Gustave MARC.

(**) Elisabetta LENARDUZZI travaille comme bonne chez le Docteur COTARD au Trait depuis l’âge de 14 ans.

 

Mariage à Heurteauville le 6 septembre 1958

De retour de la Mairie d’Heurteauville (rive gauche de la Seine), le convoi est passé devant la centrale électrique de Yainville (rive droite de la Seine) en tirant des coups de fusil, ce qui a déclenché une alerte dans le contexte de la guerre d’Algérie, les bidasses en faction rive droite, se croyant attaqué, ont failli riposté.

Mariage à Heurteauville le 6 septembre 1958
Mariage à Heurteauville le 6 septembre 1958
Mariage à Heurteauville le 6 septembre 1958
Mariage à Heurteauville le 6 septembre 1958
Mariage à Heurteauville le 6 septembre 1958
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En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

25 Mai 2019 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #Heurteauville

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Photographie de la fête du cidre de Caudebec-en-Caux 2013 de Jérôme Stalin

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Photographies des installations de Saint-Nicolas-de-Bliquetuit du 30 avril 2009. 

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

On peut toujours voir le bac n°10, à quai sur la rive droite depuis 1999.

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Jusqu'en 1977, face à Caudebec-en-Caux, l'attente à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit le dimanche soir était un exercice de patience, la queue pouvait durer près de deux heures

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Photographie de 1955 d’Henri Cartier-Bresson

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Cartes postales anciennes du panorama dans les années 30

Le bac n°4 mis en service en 1925. Sa longueur est de 36 mètres.

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

La basse-cour de l’Hôtel du Passage en face Caudebec

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

L’Hôtel Caccia construit avec des matériaux du château de la Mailleraye

Le site accueille une aire de camping-car de cinq places.

Dessin de Franck Lewis Emanuel (1865-1948)

LES EMBARCATIONS SUCCESSIVES

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Le bac à vapeur à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

L'abordage de 1925 du bac de Caudebec.

En août 1925 le cargo à vapeur de 1097 tonnes SS Borthwick aborde le bac de Caudebec faisant plusieurs morts. Le cargo construit en 1920 sera coulé par un sous-marin allemand le 9 mars 1940.

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Le bac n°4 est le premier bac à hélice de la Seine, le premier à porter un numéro pour faire suite aux bacs à vapeur de Caudebec, La Mailleraye et Duclair. Il a été mis en service en 1925 à Caudebec. Sa longueur est de 36 mètres. Il ne donnera jamais satisfaction et fera l'objet de nombreuses modifications, la cheminée entre autres. Dès 1932 son remplaçant est commandé. Le bac n°7 arrive en 1935. Le Bac n°4 est coulé à Duclair en 1940.

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Le bac n°4 à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit en service depuis 1925

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Le bac n°7 à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit en service depuis 1935

Le bac n°7 a été construit aux ASCM du Trait. Il a été mis en service en 1935, sabordé en 1940 et en 1944. Il est remis en service en 1947. Il sert de bac de remplacement à Caudebec jusqu'en 1960 et à Duclair jusqu'en 1977.

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Le bac n°9 photographié par François Kollar. Une donation a permis aux Archives Nationales de disposer des travaux de François Kollar.

Le bac n°9 a été construit au chantier Dubigeon de Petit Quevilly en 1949. Le bac n°9 est en service à Caudebec-en-Caux jusqu'en 1960. En 1960 le bac n°10 le remplace à Caudebec en Caux, le bac n°9 part à la Mailleraye-sur-Seine où il remplace le bac n°8 affecté à Duclair pour remplacer le bac n°6 retiré du parc.

En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit
En attendant le bac à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit

Le bac n°10 à Saint-Nicolas-de-Bliquetuit en service de 1960 à 1977

Photographie de 1977 de l’équipage du bac n°10

Photographie du Studio HUON de Caudebec : studio.huon@wanadoo.fr

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Mariage à Jumièges du 16 juillet 1956

20 Mai 2019 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #FAMILLE SEILLE

Dans le parc zoologique de Clères, de gauche à Droite, photo de Bernard SEILLE (1933) :

Claude SEILLE (1922), Maria GUEROULT veuve  PETIT (1898) (mère de la mariée) (*), Lucienne SEILLE épouse GRICOURT (1917), Francis DELISLE, Jeannine DESEVRE épouse d’Hervé SEILLE (1925), Robert PETIT, Hervé SEILLE fils (1947), Jean-Paul SEILLE (1950), Marie SEILLE épouse MARC (1928), Christophe MARC (1956), Robert GUILLOU, Françoise GUILLOU, Jean-Claude PETIT (1949), ???, (Lionel Delisle) (???), Gustave MARC (1921), ???, Marie France MARC (1949), Emile SEILLE (le marié 1930), Andrée POREE épouse SEILLE (1924), Eliane GUEROULT (1938) (la mariée), Brigitte DURAND (1953), Christiane PETIT épouse de Robert GUILLOU (1922) , Michel GRICOURT (1939), Yolande MARC, Marie LEFEBVRE veuve SEILLE (1895) (mère du marié), Nicole DELISLE, Danièle DESHAYS (service), Patrice SEILLE (1948), Odette SEILLE épouse DURAND (1935), Marylène SEILLE (1952), Charlotte DELAHAYE (service), René DURAND (1932).

(*) Maria GUEROULT née le 30 janvier 1898 à Jumièges, épouse le 18/02/1922 Raymond PETIT (né en 1896), décédée le 27 février 1980 à Jumièges.

Menu du repas de noces du 16 juillet 1956

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Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port

10 Mai 2019 , Rédigé par Jean-Bernard SEILLE Publié dans #Tancarville

Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port

Ce passage d'eau existait déjà au temps des romains puisqu'il assurait la continuité de la voie romaine qui reliait Evreux à Lillebonne. La voie romaine reliant Lillebonne à Evreux traversait la Seine au hameau du Bac. On y retrouve des vestiges d'embarcadère au lieudit le Vieux Port. Appelé aussi passage de Courval (ou de Vieux Port), sa largeur est de 420 mètres en 1861. Aizier est une annexe de Vieux Port. Le passage d’eau a le statut de passage interdépartemental en 1871 entre Vieux Port (Eure) et Petitville (Seine-Inférieure). Le passage est fermé en 1953.

Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port

Les installations de Vieux Port sur la rive gauche sont encore en bon état. Le site est un lieu de promenade qui vaut le détour. Les photographies sont du 25 mai 2012.

Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port
Le passage d’eau interdépartemental du Vieux Port

Les installations de la rive droite de Petiville demanderaient quelques travaux pour une réouverture, le wharf de Petiville étant en ruine. Les photographies sont du 12 février 2011.

Collection du musée du Parc régional des boucles de Seine

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